Disons-le clairement : l’IA générative artistique porte en elle les germes d’un fascisme nouveau. Un fascisme si frustré de ne pas savoir dessiner correctement ou même de passer plusieurs années d’études à apprendre qu’il a préféré coder quelques lignes pour voler et s’approprier le travail d’autrui et qualifier cela d’art ou d’avancée technologique. Pour reprendre les mots de Ian Malcolm, ils étaient si préoccupés par la question de savoir si cela était possible ou pas techniquement qu’ils ne se sont pas posé la question de savoir s’ils devaient le faire. Aujourd’hui, l’IA générative apporte plus de problèmes qu’elle n’en résout.