PDG d’Aéroports de Paris (ADP) depuis février dernier, Philippe Pascal s’occupait jusqu’ici des comptes. Après une année 2024 solide, qui a vu le chiffre d’affaires dépasser les 6 milliards d’euros, le nouveau patron s’inquiète d’une pression fiscale croissante sur le groupe, contrôlé à 50,6 % par l’Etat. Un sujet que cet ancien élève de l’Ecole nationale des impôts connaît sur le bout des doigts.L’Express : Le trafic aérien français tend à retrouver ses niveaux d’avant la pandémie. Une bonne nouvelle, mais le redémarrage est plus lent qu’en Europe et dans le monde. Comment l’expliquez-vous ?Philippe Pascal : Le trafic aérien
