Le gouvernement avait autorisé en juillet l’installation d’une telle plateforme pour permettre le décollage et l’atterrissage des aéronefs décarbonés de
Nicolas Sarkozy va désormais évoluer sous le régime de la «détention à domicile sous surveillance électronique». C’est-à-dire avec un bracelet électronique. Et l’ancien président de la République sera traité comme n’importe quel autre citoyen condamné