Le président Volodymyr Zelensky a pressé, ce mercredi 12 mars, la Russie de répondre à la proposition de cessez-le-feu de 30 jours formulée la veille à l’issue de discussions en Arabie saoudite avec les Américains, après plus de trois ans de guerre en Ukraine.
La Russie, qui a entamé ces dernières semaines la relance de ses relations avec les Etats-Unis, a affirmé de son côté qu’elle attendait d’être officiellement informée par Washington de cette proposition de trêve, tandis que son armée a l’avantage sur le front depuis plus d’un an.
Les infos à retenir :
⇒ Donald Trump « espère » que Vladimir Poutine acceptera un cessez-le-feu en Ukraine
⇒ L’Ukraine ne fait pas « confiance » à la Russie concernant une trêve, dit Volodymyr Zelensky
⇒ La Russie salue la « dynamique positive » des combats dans la région de Koursk
19h30
L’Ukraine accuse la Russie d’avoir fait exploser deux adolescents recrutés pour fabriquer des bombes
Les services secrets ukrainiens (SBU) ont accusé ce mercredi leurs homologues russes du FSB d’avoir fait exploser la veille dans l’ouest de l’Ukraine deux adolescents recrutés pour fabriquer des bombes, causant la mort de l’un d’entre eux et blessant deux passants. L’Ukraine et la Russie s’accusent régulièrement de « sabotages », des actions qui peuvent être menées contre les infrastructures de l’autre pays par des membres des populations locales recrutés sur les réseaux sociaux.
D’après le SBU, une explosion mardi dans la soirée dans le centre-ville d’Ivano-Frankivsk a ainsi provoqué la mort sur le coup d’un adolescent de 17 ans tandis que « son complice » de 15 ans a été « grièvement blessé ». Le FSB « a fait exploser deux de ses propres agents qui portaient un engin explosif improvisé près de la gare », a affirmé le SBU dans un communiqué. Les enquêteurs ont assuré que les deux adolescents, « recrutés par la Russie (sur la messagerie) Telegram » et « à la recherche d’+argent facile+ », voulaient déposer cet « engin explosif » près de la gare, « à un endroit désigné » par le FSB.
18h10
Londres révoque l’accréditation d’un diplomate russe en réponse à une mesure similaire de Moscou
Le gouvernement britannique a annoncé ce mercredi avoir convoqué l’ambassadeur russe et révoqué l’accréditation d’un diplomate et du conjoint d’un diplomate en réponse à une mesure similaire de Moscou, dénonçant une « campagne de harcèlement » contre ses diplomates.
« Il est clair que l’Etat russe cherche activement à pousser l’ambassade britannique à Moscou vers la fermeture, sans aucune considération pour la dangereuse escalade qui en résulterait », écrit le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué, dénonçant comme « entièrement fausses » les accusations d’espionnage portées par Moscou contre les deux personnes expulsées.
17h45
Donald Trump annonce que des négociateurs se rendent « dès maintenant » en Russie
Donald Trump a annoncé ce mercredi que des négociateurs américains se rendraient « dès maintenant » en Russie, au moment où Washington presse Moscou d’accepter sa proposition d’un cessez-le-feu de 30 jours en Ukraine, après des pourparlers avec Kiev en Arabie saoudite. Le président américain a déclaré à la presse depuis la Maison-Blanche espérer que son homologue russe Vladimir Poutine acceptera cette proposition de cessez-le-feu au conflit.
17h00
Cessez-le-feu : Recep Tayyip Erdogan espère que Moscou « répondra de manière constructive »
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a dit ce mercredi espérer que la Russie « répondra de manière constructive » à la proposition américaine pour un cessez-le-feu immédiat de 30 jours entre Kiev et Moscou acceptée par l’Ukraine.
« Nous considérons l’acceptation du cessez-le-feu par l’Ukraine comme positive et importante. Nous espérons maintenant que la Russie répondra de manière constructive », a déclaré le chef de l’Etat turc lors d’une conférence de presse commune à Ankara avec le Premier ministre polonais Donald Tusk.
14h35
L’Ukraine ne fait pas « confiance » à la Russie concernant une trêve, lance Volodymyr Zelensky
L’Ukraine ne fait pas « confiance » à la Russie concernant l’application d’une trêve, a affirmé ce mercredi Volodymyr Zelensky, Kiev ayant accepté mardi une proposition américaine d’un cessez-le-feu de 30 jours à laquelle Moscou n’a pas encore répondu. « Je l’ai souligné à maintes reprises, aucun d’entre nous ne fait confiance aux Russes », a affirmé le président ukrainien lors d’une conférence de presse.
Volodymyr Zelensky a aussi déclaré compter sur des mesures « fortes » de Washington si la Russie n’acceptait pas cette trêve.
14h25
La Russie met un « maximum de pression » sur les troupes ukrainiennes dans la région de Koursk, selon Volodymyr Zelensky
La Russie met un « maximum de pression » sur les troupes ukrainiennes dans sa région de Koursk, a admis mercredi Volodymyr Zelensky, Moscou ayant revendiqué ces derniers jours la reprise à un rythme soutenu de plusieurs localités dans cette zone.
« Les Russes tentent clairement de mettre un maximum de pression sur nos troupes », a déclaré le président ukrainien, lors d’une conférence de presse à Kiev, alors que ses forces armées occupent depuis août une petite partie de cette région frontalière de l’Ukraine.
14h15
L’Ukraine est prête à une trêve, c’est à la Russie de « répondre », lance Volodymyr Zelensky
L’Ukraine a montré être prête à une trêve lors de négociations avec les Américains mardi et c’est désormais à la Russie de répondre, a déclaré ce mercredi le président Volodymyr Zelensky. « Aujourd’hui, cela dépend à 100 % de ce pays, parce que l’Amérique a démontré […] sa position, l’Ukraine a démontré […] sa position, et aujourd’hui, la Russie doit y répondre », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à Kiev.
« Nous parlerons des garanties de sécurité plus en détail si les canons se taisent pendant 30 jours », a encore déclaré le président ukrainien. Ces 30 jours de trêve devraient servir à « mettre sur papier les étapes convenues avec nos alliés » et « les formats de garanties de sécurité », a-t-il ajouté.
13h30
Un « effort » d’un point de PIB pour financer la défense n’est pas « hors de portée », selon le gouvernement français
La porte-parole du gouvernement Sophie Primas a jugé aujourd’hui qu’un « effort » budgétaire d’un point de produit intérieur brut (PIB) pour financer les dépenses militaires supplémentaires, soit environ 30 milliards d’euros, n’était pas « hors de portée ».
« L’effort que nous allons demander, c’est à dire de passer de 2 à 3 % du PIB pour les dépenses militaires et de défense, c’est un point de PIB quand la dépense publique c’est 56 % du PIB », a-t-elle déclaré à l’issue du Conseil des ministres. « Cet effort, il est important en milliards (un point de PIB représente environ 30 milliards d’euros, ndlr) mais il n’est pas hors de portée », a-t-elle jugé.
Elle a réaffirmé que l’exécutif excluait une hausse des impôts ou une aggravation du déficit pour financer ces dépenses supplémentaires qui passeront donc par des économies dans d’autres secteurs. « Soyons assez clairs : pas d’objectif d’augmenter les impôts, ni bien sûr d’accroître le déficit. Nous ne sacrifierons pas notre souveraineté budgétaire pour financer notre souveraineté militaire », a-t-elle répété.
Devant la presse toujours, la porte-parole du gouvernement a par ailleurs déclaré que la « menace russe » était « réelle et sérieuse », et que le gouvernement ne faisait pas de « surenchère guerrière », en réponse à Marine Le Pen qui a accusé Emmanuel Macron de « jouer avec les peurs ». « La Russie est à la manœuvre non seulement à la frontière de l’Ukraine », « mais aussi depuis de nombreuses années sur des cyberattaques, sur la dissémination de fake news, sur les élections », a-t-elle énuméré.
13h15
Les Européens vont « devoir être impliqués » dans le processus diplomatique, selon Marco Rubio
Les alliés européens vont « devoir être impliqués » dans tout accord potentiel sur l’Ukraine, qui a donné son accord à une proposition américaine de cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie, a déclaré mercredi le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio.
« Je crois qu’ils vont devoir être impliqués », a-t-il dit à la presse à propos des Européens lors d’une escale technique en Irlande, ajoutant que la Russie demanderait la levée des sanctions prises à son encontre depuis le début de la guerre, il y a plus de trois ans.
Le chef de la diplomatie américaine a également déclaré que l’accord sur les minerais donnerait aux Etats-Unis un « intérêt direct » à protéger l’Ukraine, sans toutefois promettre de garanties de sécurité formelles : « Je ne le présenterais pas comme une garantie de sécurité, mais certainement, si les États-Unis ont un intérêt économique qui génère des revenus pour notre peuple ainsi que pour le peuple ukrainien, nous aurions un intérêt à le protéger ».
11h45
Une attaque ukrainienne fait quatre morts dans la région russe de Koursk
Une attaque ukrainienne a tué mercredi matin quatre employés d’une usine de la région de Koursk. « Malheureusement, selon des données préliminaires, quatre employés de l’entreprise ont été tués, trois hommes et une femme », a indiqué le gouverneur régional par intérim Alexandre Khinchtein sur Telegram. L’usine est, selon lui, située dans le village de Kozirevka, à une quinzaine de kilomètres de combats violents entre les armées ukrainienne et russe.
10h50
Le Kremlin dit attendre d’être informé par les Etats-Unis sur la proposition de trêve
Le Kremlin a aussi indiqué mercredi attendre d’être informé par Washington de sa proposition de trêve de 30 jours que l’Ukraine a acceptée la veille, à l’issue de pourparlers américano-ukrainiens en Arabie saoudite. « Nous avons des contacts prévus dans les jours à venir avec les Américains, et nous comptons là-dessus pour obtenir une information complète », a dit lors d’un briefing à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, ajoutant qu’un « appel téléphonique au plus haut niveau » entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine était possible dans un « délai assez court ».
10h45
Le Kremlin salue la « dynamique positive » des combats face aux Ukrainiens dans sa région de Koursk
Le Kremlin a salué ce matin la « dynamique positive » des combats face à l’armée ukrainienne dans la région russe de Koursk, où les soldats de Moscou avancent rapidement. « La dynamique est positive », a estimé le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, auprès de journalistes.
Le ministère russe de la Défense avait revendiqué un peu plus tôt la reprise de cinq villages près de la ville de Soudja, dans cette région que Kiev espère utiliser comme monnaie d’échange en cas de négociations de paix. Des médias d’Etat ont affirmé mercredi que les troupes russes étaient entrées dans la ville, ce qui représenterait un nouveau revers de taille pour Kiev, mais cela n’a pas été confirmé par les autorités russes.
10h25
L’aide américaine à l’Ukraine via la Pologne est revenue à ses « niveaux précédents »
Les livraisons d’aide militaire américaine à l’Ukraine via la Pologne ont repris à la suite des entretiens entre les Etats-Unis et l’Ukraine en Arabie saoudite, a déclaré mercredi le ministre polonais des Affaires étrangères Radoslaw Sikorski.
La semaine dernière, Washington avait suspendu cette aide après une altercation à la Maison-Blanche entre le président américain Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky. Mardi, lors des pourparlers à Jeddah, l’Ukraine a approuvé une proposition américaine de cessez-le-feu de 30 jours et a accepté d’entamer immédiatement des négociations avec la Russie. Lors de ces entretiens, en l’absence de la Russie, Washington a annoncé en retour la levée « immédiate » de la suspension de l’aide militaire à Kiev.
« Je confirme que les livraisons d’armes via (le centre logistique de) Jasionka sont revenues à leurs niveaux précédents », a déclaré Radoslaw Sikorski aux journalistes, s’exprimant aux côtés de son homologue ukrainien en visite à Varsovie. Le ministre ukrainien Andriï Sybiga a, pour sa part, qualifié la décision de Washington de « très importante, en particulier maintenant, pour notre défense ».
09h25
Cessez-le-feu en Ukraine : la décision est « entre les mains de Poutine », dit Olaf Scholz
Réagissant à son tour aux annonces d’hier, le chancelier allemand Olaf Scholz a souligné lui aussi ce mercredi qu’il appartenait désormais au président russe Vladimir Poutine de prendre position, après que l’Ukraine a accepté une proposition américaine pour un cessez-le-feu immédiat de 30 jours avec Moscou. « À présent, la balle est dans le camp de Poutine », a déclaré le chancelier sur le réseau X, qualifiant l’idée d’un cessez-le-feu d’un mois de « pas important et juste vers une paix équitable pour l’Ukraine ».
08h55
Pékin dit espérer une « paix durable et pérenne » en Ukraine
La Chine a déclaré ce matin avoir « pris note » de l’annonce de l’Ukraine, prête à accepter une proposition américaine pour un cessez-le-feu immédiat de 30 jours avec la Russie, et espérer une « paix durable ». « Nous espérons que toutes les parties pourront, par le dialogue et la négociation, trouver un plan pour une paix durable et pérenne qui tienne compte des préoccupations de chacun », a déclaré Mao Ning, une porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, lors d’une conférence de presse régulière.
08h50
Quatre morts après une frappe russe dans le port d’Odessa
Une frappe de missile balistique russe sur le port d’Odessa, dans le sud de l’Ukraine, a fait quatre morts et endommagé un cargo battant pavillon de la Barbade, ont annoncé mercredi les autorités ukrainiennes. « Malheureusement, quatre personnes sont mortes, des ressortissants de Syrie. Au moment de l’attaque, le navire était en train de charger du blé destiné à l’Algérie. C’était un navire totalement civil », a écrit sur un réseau social Oleksiy Kouleba, vice-premier ministre ukrainien chargé de la reconstruction.
08h15
Les chefs de la CIA et du Service de renseignement extérieur russe se sont entretenus par téléphone
Le directeur du Service de renseignement extérieur russe (SVR), Sergueï Narychkine, s’est entretenu au téléphone avec le chef de la CIA américaine, John Ratcliffe, ont rapporté mercredi les agences de presse russes. « Le 11 mars 2025, un entretien téléphonique entre le directeur du SVR Sergueï Narychkine et le chef de la CIA américaine John Ratcliffe a eu lieu », a indiqué l’agence officielle TASS en citant un communiqué du SVR.
Il s’agit du premier contact entre les deux responsables depuis l’arrivée au pouvoir aux Etats-Unis de Donald Trump en janvier et d’un rare échange entre les services de renseignement russe et américain depuis le début de l’offensive russe en Ukraine en février 2022. Lors de cette conversation, Sergueï Narychkine et John Ratcliffe se sont mis d' »accord pour des contacts réguliers » entre le SVR et la CIA « afin de contribuer aux garanties de la stabilité et la sécurité internationales, ainsi qu’à la baisse de la confrontation dans les relations entre Moscou et Washington », selon le communiqué cité par TASS.
07h30
Les députés examinent une résolution appelant à saisir les avoirs russes
Les députés français examineront ce mercredi une proposition de résolution sur le renforcement du soutien à l’Ukraine, qui appelle l’Union européenne, l’Otan et « les autres pays alliés » à « poursuivre et à accroître leur soutien politique, économique et militaire à l’Ukraine » face à « l’agression russe ».
Il contient aussi plusieurs points de débat, dont la question du processus d’adhésion de l’Ukraine à l’UE, de la présence sur le sol ukrainien de soldats français en cas d’accord de paix, ou encore celle de l’importation de gaz russe par les pays de l’UE, à laquelle la résolution appelle à « mettre fin ».
En l’état actuel, le texte « invite » également l’Union européenne à « utiliser dès à présent les actifs russes gelés et immobilisés, […] pour soutenir la résistance ukrainienne et la reconstruction de l’Ukraine ». Une majorité pourrait être difficile à trouver dans l’hémicycle sur cette question. Soutenue par les socialistes, les écologistes et Horizons, la saisie des avoirs russes n’est en revanche pas une bonne option pour La France insoumise (LFI) et le Rassemblement national (RN).
07h15
Donald Trump dit qu’il va sans doute parler à Vladimir Poutine cette semaine
Donald Trump a dit mardi soir qu’il « allait parler à Vladimir Poutine », sans doute cette semaine, après la réunion ukraino-américaine mardi. « Je pense, oui », a ajouté le président américain lorsqu’une journaliste l’a interrogé pour savoir si la conversation avec son homologue russe aurait lieu dans la semaine.
La porte-parole de la diplomatie russe a de son côté indiqué mardi ne pas exclure de rapides contacts entre Moscou et Washington. « Nous n’excluons pas des contacts avec des représentants des Etats-Unis pendant les prochains jours », a déclaré Maria Zakharova, citée par les agences russes TASS et Ria Novosti.
« Bien sûr », a également répondu Donald Trump à un reporter qui lui demandait si le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, serait invité à revenir à la Maison-Blanche après leur récente rencontre extrêmement conflictuelle.
Quant à la perspective de voir un cessez-le-feu total en Ukraine, Donald Trump a déclaré : « Et bien, j’espère que ce sera fini dans les prochains jours, j’aimerais voir ça ». « Je sais que nous avons une grosse réunion demain avec la Russie et on espère que de bonnes conversations suivront », a-t-il ajouté.
07h00
L’Union européenne salue l’accord entre Kiev et Washington, la balle est « dans le camp de la Russie »
Les deux plus hauts responsables de l’Union européenne ont salué mardi l’accord entre les États-Unis et l’Ukraine sur un projet de cessez-le-feu avec la Russie, ainsi que la décision de Washington de reprendre l’aide militaire à Kiev. « Il s’agit d’une évolution positive qui peut constituer un pas vers une paix globale, juste et durable pour l’Ukraine. La balle est désormais dans le camp de la Russie », ont écrit la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le président du Conseil européen Antonio Costa sur X, après les pourparlers américano-ukrainiens en Arabie saoudite.
Emmanuel Macron s’est également « félicité des avancées », ajoutant sur le réseau social X que « la balle est aujourd’hui clairement dans le camp de la Russie ». « La France et ses partenaires restent engagés pour une paix solide et durable, qui soit adossée à des garanties de sécurité robustes pour l’Ukraine », a-t-il ajouté.
Je me félicite des avancées permises par les discussions entre les États-Unis d’Amérique et l’Ukraine qui se sont tenues ce jour à Djeddah, en particulier sur l’idée d’un possible cessez-le-feu pour 30 jours.
La balle est aujourd’hui clairement dans le camp de la Russie.…
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) March 11, 2025
Le Premier ministre britannique Keir Starmer a pour sa part « chaleureusement » accueilli mardi dans un communiqué l’accord entre les Etats-Unis et l’Ukraine, le qualifiant d' »avancée remarquable » et appelant Moscou à « accepter un cessez-le-feu et également une fin des combats ».
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Publish date : 2025-03-12 18:31:00
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