Dans «Le reste du monde n’existe pas», le photographe fait le portrait d’une jeunesse demeurée attachée à sa Charente natale. Source
Depuis 2015, le photographe Gabriele Micalizzi arpente le Donbass du côté russe de la ligne de front, une zone où les conditions d’accès édictées par Moscou sont très strictes pour les journalistes. En novembre, il













