En parallèle des bombardements soutenus par les frappes américaines des sites nucléaires iraniens, Israël a opéré pendant plusieurs jours sous les radars un autre type d’attaque. Le sabotage, par ses pirates informatiques, de toute l’infrastructure qui maintient Téhéran connecté au monde, rapporte le Wall Street Journal dans une enquête.Selon les sources du quotidien américain, issues des cercles de responsables israéliens, c’est un groupe hackers pro-israéliens, les Predatory Sparrow, qui ont mené la charge. Objectif : bloquer, plusieurs jours durant, les organisations financières utilisées pour transférer de l’argent et contourner le blocus économique imposé par les Etats-Unis pour couper le pays