FRANCE

Les conclaves recèlent toujours une part de mystères et de fantasmes. Mais cette fois, la perspective de l’élection du futur pape est parasitée de l’autre côté des Alpes par un flot de rumeurs alimenté par une partie de la presse italienne. Avec un homme dans leur collimateur : Emmanuel Macron. Comme repéré par Le Monde, le président français fait en effet l’objet de nombreuses attaques dans les pages de plusieurs journaux de droite. Son tort ? Tout faire pour privilégier l’élection d’un pape français au Saint-Siège. Une accusation présumée et seulement étayée par une interprétation de différents rendez-vous effectués par

Difficile de ne pas considérer la décision comme un camouflet. Donald Trump a officialisé jeudi 1er mai le départ de son conseiller à la sécurité nationale, Mike Waltz. "J’ai le plaisir d’annoncer que je vais nommer Mike Waltz au poste d’ambassadeur des États-Unis auprès des Nations unies", a écrit le président américain sur son réseau Truth Social. Le secrétaire d’État Marco Rubio occupera son poste stratégique par intérim en attendant le remplacement de ce proche du milliardaire républicain.En annonçant la nouvelle, premier mouvement majeur dans son équipe depuis son retour au pouvoir, Donald Trump a tout fait pour ménager Mike

Vendredi dernier, à l’intérieur de la mosquée de la Grand-Combe près d’Alès, Aboubakar Cissé est tué d’une cinquantaine de coups de couteau. Son assaillant filme la scène, en tenant des propos injurieux envers l’islam. Après le drame, la classe politique réagit. Timidement du côté de la droite : le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, tarde à se rendre sur place. Laurent Wauquiez, lui, prend soin de ne pas dénoncer seulement l’islamophobie. A gauche, c’est un tout autre discours. Plusieurs personnalités organisent un rassemblement contre l’islamophobie.Si les politiques ne parlent pas d’une seule voix, cet assassinat soulève une autre question :