POUR Cécile, de Châtenay-Malabry : “Grâce à mon burn-out, j’ai enfin pu mettre mon travail en pause pour profiter pleinement de ma dépression” Stéphano, de Paimpol : “Au bout de 10 burn-outs, ma boite nous offre un coquetier Bill du Bigdil. Plus que 6 !” Martine, de Nogent-le-Rotrou : “Ma boule au ventre s’appelle Gaufrette, pèse 65 kilos et adore la viande crue. Un amour !” CONTRE Dimitri, de Fourqueux : “Faire un burn-out ça demande une organisation de dingue. Je vois pas comment rajouter ça à mon planning alors que je dois déjà profiter des Lapeyriades du 8 au