Le chiffre ne cesse de grandir et les théories complotistes explosent. En l’espace de quelques semaines seulement, la mort de six candidats du parti nationaliste et anti-immigration allemand "Alternative fur Deutschland" (AfD), qui se présentaient aux élections municipales du 14 septembre en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, a été annoncée. Si la police allemande assure que ces décès sont pour la majorité naturels, sur les réseaux sociaux, des centaines d’internautes suggèrent des "assassinats déguisés".Cette théorie est encouragée par des membres du parti lui-même. Sa codirigeante au niveau national, Alice Weidel, a laissé entendre le 31 août que ces décès étaient suspects. Une telle coïncidence