C’est une victoire plus que méritée. Celle que vient de remporter la France face à l’Allemagne à Bruxelles, cette dernière acceptant enfin de traiter l’énergie nucléaire à égalité avec le solaire ou l’éolien, rapporte le Financial Times du 19 mai. Paris peut dire merci au chancelier Friedrich Merz, en rupture avec l’entêtement de ses prédécesseurs à jeter le nucléaire aux orties. Une position qui remonte à 2011, lorsqu’Angela Merkel annonça la sortie du nucléaire, au lendemain de l’accident de la centrale de Fukushima.Les réacteurs français n’avaient alors qu’à bien se tenir, tant l’époque était au "nucléaire bashing". Trop cher, trop