Trois jours après son altercation inouïe avec Volodymyr Zelensky dans le bureau Ovale, Donald Trump réunit, le lundi 3 mars, ses principaux conseillers à la Maison-Blanche pour décider de la suite des événements. Quelques heures plus tard, le couperet tombe : Washington déclare le gel de son soutien militaire à Kiev. "Le président a clairement indiqué qu’il se concentrait sur la paix. Nous avons besoin que nos partenaires s’engagent eux aussi à atteindre cet objectif", se contente d’indiquer l’administration républicaine.De l’autre côté de l’Atlantique, l’annonce fait l’effet d’une bombe. Et confirme la pire crainte des chancelleries du Vieux Continent :





























