"Une tempête politique", résume le quotidien argentin La Nación. Le président Javier Milei affronte un épisode délicat de son mandat après avoir fait, vendredi 14 février, la promotion d’une cryptomonnaie qui s’est ensuite effondrée, suscitant des accusations "d’escroc", des appels à une commission d’enquête, voire à un procès. Après 24 heures de vives réactions à ce que la presse locale a déjà qualifié de "crypto-scandale", la présidence tente d’éteindre le feu. Elle a annoncé, samedi dans un communiqué, saisir le bureau anticorruption pour identifier une éventuelle "conduite inappropriée d’un membre du gouvernement, y compris le président".Tout en assurant que Javier