Les vacations consacrées au mythe napoléonien se succèdent à un rythme soutenu et pourtant, l’abondance d’objets n’étanche pas la soif des collectionneurs. Le 7 mars dernier à Drouot, sous le marteau de maître Giquello, un sabre en or au chiffre de l’empereur commandé par la cour d’Autriche, en 1810, à l’occasion du mariage de Napoléon avec l’archiduchesse Marie-Louise était disputé jusqu’à 850 070 euros. Ce même jour, une paire de pistolets à silex commandée pour l’empereur obtenait 461 560 euros. Le 1er mars, à Saint-Ouen, la maison de ventes Oxio présentait un seau à glace en porcelaine de Sèvres du






























