Après des inondations meurtrières en avril, les autorités de la capitale congolaise dénoncent l’“urbanisme sauvage” à l’origine de la tragédie.
Dans le Gran Chaco paraguayen, la survie des derniers Ayoreo vivant en “isolement volontaire” est gravement menacée par la déforestation et l’appétit économique de certains propriétaires. Leur existence, pourtant protégée par la loi, est menacée