Dans la dernière livraison de son volume papier annuel, consacrée à « L’Empire de l’ombre. Guerre et terre au temps de
Attaquées de toutes parts par la censure, les privatisations et le populisme, les universités ont cessé d’être des lieux dévolus à la pensée critique, déplore la sociologue Jo-Anne Dillabough. Dans un entretien au « Monde », elle