Le président américain, qui avait assuré durant la campagne électorale qu’il « bloquerait instantanément » une prise de contrôle du géant américain
Alors que le président français se rend à Rome mardi 3 juin, l’universitaire Jean-Pierre Darnis explique, dans une tribune au « Monde », l’hostilité envers la France par des divergences stratégiques sur le plan international et la résurgence