"Je vois une image d’un petit garçon palestinien en pleurs et en cris, appelant sa mère ensevelie sous les décombres.
La grâce présidentielle d’Abdelmadjid Tebboune à l’égard de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal devient de plus en plus hypothétique. Le président algérien, qui avait la possibilité de lui accorder la liberté à l’occasion du 63e anniversaire