"Ce n’est pas un gringo qui va donner des ordres au président de la République." La formule lâchée mi-juillet par
Les promesses trumpiennes d’une paix en Ukraine en 24 heures paraissent bien loin. Plus de six mois après la prise de fonction du nouvel hôte de la Maison-Blanche, et à l’heure où les frappes aériennes