Créer un espace de dialogue entre les victimes et les auteurs pourrait atténuer le manque d’humanité du système pénal, selon
Condamnés mi-octobre à respectivement 20 et 17 ans d’emprisonnement, pour espionnage au profit des renseignements français et israélien, Cécile Kohler et Jacques Paris, ont toujours clamé leur innocence. Ils étaient les deux derniers Français officiellement détenus























