A travers la vitre, la sœur d’Eric Denécé découvre l’impensable : son frère est affaissé sur le siège conducteur, inerte. Sa tête tuméfiée repose sur son épaule, un fusil de chasse à ses côtés. Les portières sont verrouillées. Elle appelle immédiatement la gendarmerie de Thônes (Haute-Savoie), selon son entourage familial direct.Ce mercredi 11 juin, à 10 heures, dans les hauteurs de Serraval, en Haute-Savoie, la sœur d’Eric Denécé devait voir son frère. Ils vivaient à quelques kilomètres l’un de l’autre. Devant le chalet, le silence du lieu l’inquiète. Personne ne répond lorsqu’elle frappe aux deux portes. Elle décide de se