On parle beaucoup de Pierre-Edouard Stérin. S’il occupe les Unes des journaux et fait l’objet de multiples commentaires, c’est qu’il a manifesté son intention de peser sur le débat public français (depuis la Belgique où il est exilé fiscal) en finançant diverses associations et actions orientées vers la pensée conservatrice.Pour être plus clair encore, il suffit de rappeler que le vaisseau mère à partir duquel ce milliardaire veut changer la France par les idées se nomme Périclès, un acronyme aux intentions transparentes : "patriotes, enracinés, résistants, identitaires, chrétiens, libéraux, européens, souverainistes". Son but déclaré est de faire advenir au pouvoir