Les promesses trumpiennes d’une paix en Ukraine en 24 heures paraissent bien loin. Plus de six mois après la prise de fonction du nouvel hôte de la Maison-Blanche, et à l’heure où les frappes aériennes russes contre les civils atteint un niveau inédit, la fin de la guerre n’a jamais semblé aussi incertaine. Echaudé par ce surplace diplomatique, le président républicain a récemment haussé le ton, allant jusqu’à fixer un ultimatum à son homologue russe pour faire la paix - dont l’échéance est prévue ce vendredi 8 août - sous peine de violentes sanctions économiques. Avant cette échéance, son émissaire






























