"Ce n’est pas un gringo qui va donner des ordres au président de la République." La formule lâchée mi-juillet par le Brésilien Lula lui a coûté cher. Quelques jours plus tôt, Donald Trump avait appelé à l’abandon des poursuites judiciaires contre l’ex-président Jair Bolsonaro. En tenant tête au milliardaire américain, le président a exposé son pays à une facture douanière de 50 %.Pas de quoi intimider Lula, qui a même gagné au passage des points dans les sondages. Un regain de popularité bienvenu en vue des élections de 2026. Du reste, l’impact de ces droits de douane s’annonce modeste :
