La Syrie, qui concentre toutes les divergences entre Tel Aviv et Washington, place Benyamin Netanyahou dans un dilemme diplomatique. D’un côté, continuer à défendre par les bombes la communauté druze de Syrie en proie à des affrontements meurtriers avec les forces officielles syriennes et les Bédouins dans la province syrienne de Soueïda. De l’autre, maintenir un lien apaisé son allié principal et indispensable : les Etats-Unis.Là réside le problème : Donald Trump cherche à courtiser le gouvernement syrien d’Ahmed Al-Chareh, qu’il aimerait voir devenir un pouvoir central fort afin de stabiliser la Syrie et la région, encouragé par la Turquie






























