A chaque tragédie météorologique extrême, comme les incendies ou les inondations, le flot de fausses affirmations se répand vite. Plus vite que les alertes vitales provenant des autorités, révèle une étude du Centre pour contrer la haine numérique (CCDH).Selon le document, la prolifération de ces fake news climatiques sur les plateformes comme Meta, X et YouTube, entraîne une augmentation des risques pour la sécurité publique, par l'érosion de la confiance de l'opinion publique dans les efforts de secours en cas de catastrophe.L'inefficacité de la vérification des comptesAprès avoir analysé des messages viraux, sur chacun de ces trois réseaux sociaux majeurs,