La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), le renseignement intérieur français, incrimine dans un rapport d’enquête un ex-haut responsable de l’ambassade algérienne à Paris dans l’enlèvement en 2024 près de la capitale d’Amir Boukhors, opposant au régime d’Abdelmadjid Tebboune.Dans cette enquête menée par un juge antiterroriste parisien ayant déjà abouti mi-avril à trois mises en examen, l’AFP a appris mardi de source proche du dossier que la DGSI met en cause un quatrième protagoniste non poursuivi à ce stade : S. S., présenté comme un "sous-officier algérien de la DGDSE", un service de renseignement de ce pays, âgé de