Trois semaines après le vol de bijoux au retentissement mondial au Louvre, la Cour des comptes a vivement critiqué le grand musée jeudi 6 novembre dans un rapport en estimant qu'il avait "privilégié des opérations visibles et attractives" au détriment de la sécurité.Le 19 octobre, des malfaiteurs ont réussi à s'introduire, avec un camion élévateur, dans la galerie d'Apollon, où ils ont dérobé en quelques minutes des joyaux royaux et impériaux d'une valeur de 88 millions d'euros, et d'une valeur patrimoniale inestimable. Les bijoux restent à ce jour introuvables mais quatre personnes, dont trois soupçonnées d'avoir directement participé au casse,





























