C’est un recueil de chroniques en forme d’avertissement. Avant qu’il ne soit trop tard compile des textes de Kamel Daoud parus dans Le Point, Marianne ou le New York Times, des attentats de 2015 jusqu’à l’emprisonnement de Boualem Sansal. Le journaliste et écrivain, prix Goncourt pour Houris, y analyse les névroses du pays qu’il a dû quitter, l’Algérie, mais s’inquiète aussi que son pays d’accueil, la France, ne cède, sous couvert de culpabilité coloniale et de tolérance, aux sirènes de l’islamisme. Pour L'Express, il évoque également Donald Trump ("un personnage très ambivalent dans le monde arabe") ou Recep Tayyip Erdogan





























