Dans ce roman, l’écrivain Vincenzo Latronico dépeint Berlin comme le théâtre fragile d’une génération mondialisée. Une analyse fine saluée par
Helsinki a restitué à Cotonou un “kataklè”, un siège sans dossier à trois pieds, plus d’un siècle après sa spoliation par les troupes coloniales françaises dans le royaume de Dahomey de l’époque. Cette rétrocession s’ancre