1200 pages en moins de 90 minutes, voilà qui n’est pas banal, surtout pour un étudiant qui avoue n’avoir lu jusque-là que quatre ou cinq « romans » dont deux de Virginie Grimaldi. L’homme originaire d’Orléans (45) tempère : « Le temps paraissait tellement long que ça ne me semble pas être un exploit, j’ai même fini dix minutes avant le CSC de Vertonghen. Ce qui aurait été fou, c’est de réussir une séance de cardio devant ce match. » En tout cas, le livre lui a plu, si bien qu’il envisage de s’attaquer prochainement à d’autres classiques. « Dommage