C'est un dossier explosif sur lequel Moscou continue d'entretenir le flou. Et pourtant, sa voix sera stratégique pour l'avenir de ce territoire, disputé depuis cinquante ans entre le Maroc et les indépendantistes du Front Polisario -soutenus par l'Algérie. Car dès demain, le Sahara occidental sera au coeur d'un vote à l'Onu. Les cinq membres permanents du conseil de sécurité devront se positionner sur un plan d'autonomie proposé par l'administration Trump et favorable au Maroc.Si le Royaume-Uni et la France ont déjà fait savoir qu'ils se rangeraient derrière Washington, la Chine ainsi que la Russie, traditionnel allié d'Alger, sont, eux, restés
