La grâce présidentielle d’Abdelmadjid Tebboune à l’égard de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal devient de plus en plus hypothétique. Le président algérien, qui avait la possibilité de lui accorder la liberté à l’occasion du 63e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie, ce vendredi 4 juillet, ne l’a pas fait. Boualem Sansal ne devrait donc pas faire partie des 6 500 détenus libérés – une tradition bien ancrée à la veille des célébrations de l’indépendance de l’Algérie.Tensions diplomatiquesA l’Elysée comme au ministère des Affaires étrangères, on espérait que l’essayiste, âgé de 80 ans, bénéficie cette semaine d’une grâce présidentielle, ce qui aurait permis